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"Que seja infinito enquanto dure" ...
17 juin 2008

Curitiba II

100_3605Me voila de retour de mon petit week-end Curitibien. Que d'émotions en 4 jours! Voyager avec les Beckers, c'est pas de la chiclette. Et pour cause: Arrivés à l'aeroport à 20h45, juste à temps, Pedro décide qu'il a faim et qu'on va chercher à manger. Le temps de faire la file au fast food et d'arriver enfin à l'embarquement, 20h10,  l'hotesse de l'air nous tire par les oreilles " Dernier appel pour la famille Becker, manque plus que vous pour decoller". Tout les passagers tiraient des têtes de méchants et moi je leur lançait des grands sourires. Pour 5 minutes de retard, quand même, y'a pas de quoi en faire un boudin. Une fois tous bien installés l'avion décolle. Jusque là tout va bien, jusqu'à ce que le capitaine annoce que l'aéroport de curitiba est fermé à cause de la météo. Nous allons donc atterir à Navegante, dans un autre Etat et rejoindre Curitiba en car. Bran-le-bas de combat dans la cabine, les gens ils ne sont pas contents (et moi je rigole encore plus). Arrivés à Navegante, 22h00, on a très très froid (comme en Belgique) et les gens sont encore moins contents. On monte dans le car en direction de l'aéroport de Curitiba (enviro 100_36063h de trajet) mais quand on arrive là (01h00) tout est fermé. Pas moyen de louer une voiture pour rejoindre l'hotel et pas de taxis a l'horizon. Alors on remonte dans le car pour tenter a la station rodoviaire. Là heureusement, on a pu prendre un taxi et rejoindre l'hotel, claqués...

Le lendemain debut d'aprem on prend tous un taxi pour se rendre a l'hopital (pour rendre visite à l'oncle malade, tâche que j'aurai, Dieu du Ciel, le droit de zapper). Tout le monde descend sauf moi, qui continue ma course jusqu'à la maison de Vinicius. J'avais donc ma valise avec moi. Apres 1000 tours et racatours pour trouver l'appart, trop heureuse de me trouver là, je saute hors du taxi et fonce dans le building. MAAAAIS... une fois arrivée devant l'ascenceur... OÚ EST MA VALISE? (avec mon passeport, mes fringues, et tout les trucs de filles...). C'est trop tard, le taxi est déja parti mais, HEUREEEUSEMENT, il m'a laissé sa carte.  Apres s'être (un peu trop) moqué de moi, Vinicius s'est décidé à empoigner le telephone  pour résoudre l'affaire. Ce n'est qu'après 5 appels et la certitude que le gars c'était tiré avec mes affaires (il ne revenait pas a la centrale) que j'ai pu enfin me relâcher et profiter!

Le week-end (appart ces quelques évènements) n'a pas été très mouvementé. MAis il n'empêche qu'il fût parfait. Moi vraiment hyper heureuse de revoir la famille, eux tout aussi heureux. Vinicius prêt a recharger mes batteries musicales (j'ai passé la barre des 100 cds de ma collection musique brésilienne!), Célida voulant m'apprendre a cuisiner des centaines de trucs et une vie de famille comme je les aimes: mouvementée.

Ce fût étrange de les revoirs alors qu'on s'était déja dit adieu et plus que quiconque ils me manqueront. Mais je sais qu'un jour je serai de retour au Brésil et que Curitiba est la première sur ma liste de ville à re-visiter. Je ne m'en lasserai jamais.

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